L'Appel de l’Epoux Divin à la Réconciliation et à l’Unité

Pèlerinage international de prière en Terre Sainte
de
La Vraie vie en Dieu
du 14 au 26 mars
à l'occasion du Grand Jubilé de l'An 2000

Symposium des 19 et 20 mars 2000 à Bethléem

 

Allocution du Père Vasile Axinia, de l'Eglise Orthodoxe de Roumanie
(Texte oiginal en français lu le 19 mars 2000)

UNITÉ ET RÉCONCILIATION

 

L'attitude oecuménique de l'Orthodoxie est un peu différente d'un pays à l'autre, d'une Eglise à l'autre, dû au contexte historique, social et éthique de chaque peuple. Il y a pourtant certains critères communs comme résultat du contact permanent entre les Eglises soeurs concernant l'oecuménisme.

L'Eglise Orthodoxe se trouve déjà à l'intérieur du mouvement oecuménique d'une manière irréversible. La théologie orthodoxe a toujours souligné la nécessité de réaliser une unité au sein du christianisme, ayant comme point de départ la révélation divine trouvée dans la Sainte Ecriture.

L'Orthodoxie a eu une contribution majeure au mouvement oecuménique qui a comme base, dans le cadre du Conseil Oecuménique des Eglises de Genève, la Sainte Trinité, c'est-à-dire le Père, le Fils et le Saint Esprit. L'Orthodoxie a toujours affirmé que l'unité des Eglises réside seulement dans la réalisation d'un amour en Christ, entre des gens, ainsi que la réconciliation des Eglises, ayant comme support l'unité de la Sainte Trinité.

Le rétablissement de l'unité visible des Eglises chrétiennes a constitué une préoccupation permanente de l'Orthodoxie. Dans ce sens, nous rappelons ici seulement l'encyclique du Patriarche Oecuménique Joachim IIIe du 30 mai 1902, aussi bien que l'encyclique synodale du même Patriarcat du 18 mai 1921.

Ci-dessous, (Maintenant) je vais présenter [en] bref le problème de l'unité et de la réconciliation, et j'ai la conviction que les autres frères et soeurs en Christ, présents ici, ont la même vision sur ces deux sujets.

Je vais insister un peu sur un fait unique dans l'histoire bi-millénaire de l'Eglise Orthodoxe Roumaine, notamment la visite pour la première fois d'un Pape polonais, rendue à une Eglise Orthodoxe soeur, dans l'Esprit de l'unité et de la réconciliation.

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La foi chrétienne nous montre que l'Eglise de Christ est unitaire. Le Seigneur Jésus Christ a mis en évidence son unité avec ses Apôtres : "Père, je veux que là où je suis, ceux que tu m'as donnés soient eux aussi avec moi" (Jean 17.24).

L'unité dans l'Esprit Saint est recommandée par St Paul, pour que la paix et l'unité au sein de l'Eglise puissent être réalisées. "Appliquez-vous à garder l'unité de l'esprit par le lien de la paix" (Ephésiens 4.3). L'unité de l'Eglise est gardée, donc, tant que l'unité de l'Esprit Saint est gardée. De cette unité, il résulte une seule foi. Dieu offre des dons aux fidèles dans l'Eglise, en vue de l'unité de la foi : "Et ceux que Dieu a établis dans l'Eglise sont, premièrement des apôtres, deuxièmement des prophètes, troisièmement des hommes chargés de l'enseignement ; vient ensuite le don des miracles, puis de guérison, d'assistance, de direction, et le don de parler en langues. " (I Corinthiens 12. 28-29).

L'unité de la foi représente la garantie de la présence de Christ en Eglise. Les attributs de l'Eglise de Christ sont : Une, Sainte, Catholique – qui dans l'Orthodoxie est donné par le mot ‘sobornicité’ – et Apostolique.

L'unité de l'Eglise de Christ est fondée sur la communion de la plénitude, car l'ecclésiologie orthodoxe est trinitaire et elle est aussi une théologie de la communion de l'Eglise qui peut être définie comme mystère de la communion de la Sainte Trinité dans le monde.

Conformément aux Ephésiens 4.5-6 : "il y a un seul Seigneur, une seule foi, un seul baptême ; un seul Dieu et Père de tous, qui règne sur tous, agit sur tous, et demeure en tous". La révélation divine assure l'unité de foi et le salut des fidèles : "Nul ne peut venir à moi si le Père qui m'a envoyé ne l'attire" (Jean 6.44).

Les Saints Sacrements sont nécessaires pour le salut des gens, et il y a une unité charique entre la foi et les sacrements, et celui qui reçoit le Sacrement du baptême devient membre du corps mystique de Christ et de l'Eglise.

De tous les textes de la Sainte Ecriture, il résulte une unité de l'amour entre tous les fidèles qui ont reçu le baptême, ainsi qu'une unité de l'amour en Dieu. L'amour envers Dieu et l'amour envers les gens se complètent réciproquement, et tout cela mène à l'unité, car conformément aux mots de St Paul dans I Corinthiens 13 : "l'amour ne disparaît jamais".

De même, le Nouveau Testament nous parle clairement de l'unité de la Sainte Trinité. "Moi et le Père nous sommes un" (Jean 10.30). "Le Paraclet, l'Esprit Saint que le Père enverra en mon nom, vous enseignera toutes choses et vous fera ressouvenir de tout ce que je vous ai dit" (Jean 14.26), ainsi que de l'unité de la foi et de l'unité de l'Eglise. "En effet, comme nous avons plusieurs membres en un seul corps et que ces membres n'ont pas tous la même fonction, ainsi à plusieurs, nous sommes un seul corps en Christ, étant tous membres les uns des autres, chacun pour sa part" (Romains 12. 4-5).

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LA RÉCONCILIATION

Dans le Nouveau Testament, le mot est utilisé dans le sens religieux de réconciliation de l'homme avec Dieu, par Jésus Christ : "Bien plus, nous mettons notre orgueil en Dieu par notre Seigneur Jésus Christ car par Lui, maintenant, nous avons reçu la réconciliation" (Romains 5.11). "Tout vient de Dieu, qui nous a réconciliés avec lui par le Christ et nous a confié le ministère de la réconciliation" (II Corinthiens 5.18) "et les réconcilier avec Dieu tous les deux en un seul corps, au moyen de la croix ; là, il a tué la haine" (Ephésiens 2.16) "et de tout réconcilier par lui et pour lui, et sur la terre et dans les cieux, ayant établi la paix par le sang de sa croix" (Colossiens 1.20).

La réconciliation est entièrement l'oeuvre de Dieu et elle est considérée comme une nouvelle création qui est transmise par le baptême : "Par le baptême, en sa mort, nous avons donc été ensevelis avec lui par la gloire du Père, afin que, comme Christ est ressuscité des morts, nous menions nous aussi une vie nouvelle " (Romains 6.4) "Car de toutes façons, c'était Dieu qui en Christ réconciliait le monde avec lui-même, ne mettant pas leurs fautes au compte des hommes, et mettant en nous la parole de réconciliation" (II Corinthiens 5.19).

Le Seigneur Jésus Christ a réconcilié par son sang l'humanité avec Dieu et il a pacifié l'univers entier : "Si, en effet, leur mise à l'écart a été la réconciliation du monde, que sera leur réintégration, sinon le passage de la mort à la vie ?" (Romains 11.15). La réconciliation allait se transmettre au fil des siècles, à tous les peuples, par son Eglise, ses serviteurs, évêques, prêtres et fidèles.

Revenant au présent, les deux Eglises soeurs, Catholique Romaine et Orthodoxe, après la séparation de 1054, se sont donné la peine de se réconcilier.

Pour l'Eglise Orthodoxe, le problème du dialogue et de la réconciliation a été soulevé surtout après la deuxième guerre mondiale, au sein du Conseil Oecuménique des Eglises, mais à la Conférence de Rhodes en 1961 et des autres qui se sont déroulées, les deux Eglises, l'Eglise Catholique Romaine et l'Eglise Orthodoxe, décidèrent de cultiver des rapports dans l'esprit oecuménique, dans l'amour de Christ.

Le Concile Vatican II a affirmé pour la première fois l'autorité du collège épiscopal et a décidé l'initiation d'un dialogue théologique sur pied d'égalité entre les deux Eglises soeurs. Comme suite, entre le 4 et le 6 janvier 1964, le Patriarche Oecuménique de Constantinople rencontra le Pape Paul VI à Jérusalem. Puis, le 7 décembre 1965, dans les Cathédrales Saint Georges de Constantinople et de Saint Pierre de Rome, on a annulés les deux anathèmes réciproques de 1054. En 1967, le Pape Paul VI et le Patriarche Athénagoras de Constantinople se sont rencontrés à Phanar et ensuite le Patriarche Athénagoras a visité Rome. Le 28 août 1968 a été nommée à Chambésy, en Suisse, la Commission orthodoxe pour commencer le dialogue avec l'Eglise de Rome et ont été créées simultanément des commissions parallèles pour préparer le dialogue entre les Eglises soeurs. Le Pape Jean Paul II a visité le Patriarcat de Constantinople et la déclaration commune [fut] signée ‘en vue non seulement le progrès pour le rétablissement de la pleine communion entre les Eglises Catholique Romaine et Orthodoxe, mais aussi la contribution des dialogues en vue de son unité’ (L'Osservatore Romano N°49, déc, 1979).

En décembre 1987, le Patriarche Oecuménique visita Rome. L'un des moments les plus marquants de la rencontre a été le moment où le Credo Nicéo-Constantinopolitain a été lu, sans Filioque. L'actuel Patriarche de Constantinople, Sa Sainteté Bartholomée Ier, a visité Rome en juillet 1995.

En ce qui concerne les relations de l'Eglise Orthodoxe Roumaine avec l'Eglise Catholique Romaine, elles ont été, le long des années, excellentes. Mais c'était la première fois, entre les 7 et 9 mai 1999, qu'un Pape de Rome a visité un pays majoritairement orthodoxe, après 1054.

La visite s'est déroulée sous le signe du travail de l'Esprit Saint. La rencontre a été un geste historique de réconciliation. Permettez-moi ci-dessous de vous citer quelques passages des déclarations officielles des dirigeants spirituels des deux Eglises.

" Je remercie spécialement Sa Béatitude le Patriarche Teoctist " – disait Sa Sainteté le Pape Jean Paul II – " pour les expressions fraternelles que vous avez eu l'amabilité de m'adresser, aussi bien que pour l'aimable invitation de visiter l'Eglise Orthodoxe Roumaine, l'Eglise majoritaire en Roumanie. C'est pour la première fois que la Providence divine m'offre la possibilité de dédier un voyage apostolique à une nation majoritairement orthodoxe, et cela n'aurait pas pu être réalisé sans la disponibilité fraternelle du Saint Synode et de la vénérable Eglise Orthodoxe Roumaine.

Je ne peux pas, en ce moment historique, ne pas mentionner la visite que votre Béatitude m'avez rendue il y a dix ans au Vatican, manifestant une ferme volonté d'établir librement des rapports ecclésiastiques d'amitié, utiles au profit des fidèles des deux Eglises. J'ai la conviction que ma visite à Bucarest va contribuer à la cicatrisation des blessures produites dans les relations entre nos Eglises et va faire naître une collaboration réciproque, pleine de confiance.

Votre Béatitude, frères en Episcopat, redonnons à l'Eglise l'unité visible... J'ai cherché l'unité de toutes mes forces et je vais continuer à m'y dédier jusqu'à la fin, pour que l'unité soit parmi les préoccupations prioritaires des Eglises et pour être [pour qu'elle soit] soutenue dans le travail apostolique... Ce désir de coopération fraternelle soutenue par les prières, l'estime et le respect réciproque, doit être appuyé et promu, parce que la paix édifie, tandis que la discorde détruit.

Au nom de cette grande inspiration oecuménique, je m'adresse à tous ceux qui croient en Christ et qui vivent en Roumanie. Je me trouve parmi vous, animé seulement par le désir de la vraie unité et par la volonté d'accomplir le ministère de Pierre, que Dieu m'a confié, entre frères et soeurs de la même foi. Mon désir le plus vif est que la prière de Jésus au Cénacle "pour qu'ils soient un comme nous sommes un" (Jean 17.11), ne cesse jamais d'être vivante dans vos coeurs. "

Le Saint Père a prononcé la plupart de ses discours en roumain et il a nommé la terre roumaine ‘le jardin de la Très Sainte Vierge’, expression qui caractérise depuis longtemps le peuple roumain orthodoxe, pour sa foi apostolique en Christ, parce que le Saint Apôtre André a prêché l'Evangile sur le territoire roumain, il y a deux mille ans.

A son tour, Sa Béatitude Teoctist, Patriarche de l'Eglise Orthodoxe Roumaine s'est adressé à Sa Sainteté Jean Paul II, primat de l'Eglise Catholique Romaine :

" Votre Sainteté, nous avons la conviction que notre Seigneur Jésus Christ se trouve parmi nous et la rencontre d'aujourd'hui est la volonté du Père et le travail du Saint Esprit. Nous espérons que la visite de votre Sainteté sera une exhortation positive pour le dialogue engagé de l'Eglise Orthodoxe Roumaine avec l'Eglise Gréco-Catholique de Roumanie car notre Eglise a aujourd'hui une grande responsabilité pour la renaissance morale et spirituelle de la société roumaine.

Concernant les Eglises et les confessions chrétiennes de Roumanie, nous avons repris la pratique des conférences théologiques interconfessionnelles, et quant à l'oecuménisme, nous voulons apporter au sein du mouvement oecuménique, l'expérience de notre mission spécifique. Chaque Eglise locale jouit de chaismes spécifiques. La symbiose entre notre langue d'origine latine et la foi orthodoxe qui tient de l'identité de notre Eglise a constitué une liaison forte entre l'Occident et l'Orient. Le charisme et la responsabilité de l'Eglise Orthodoxe Roumaine avec celui de l'Eglise Orthodoxe Universelle a été de garder et de témoigner tout au long de l'histoire ‘la foi qui a été transmise aux Saints définitivement’ (Jude 1.3), comme elle a été cristallisée dans la tradition patristique et la confession dogmatique des Synodes Oecuméniques par le Consensus de l'Eglise Universelle.

Voilà pourquoi, nous avons la conviction que les énergies de l'Eglise doivent être dirigées vers le travail missionnaire et oecuménique commun.

Votre Sainteté, aujourd'hui, c'est un moment saint où nous nous trouvons ensemble devant Dieu, devant le monde, devant l'histoire et devant les gens. Nous pensons que toutes les Eglises chrétiennes doivent concentrer toutes les énergies dans le travail du salut de l'homme, parce que le monde d'aujourd'hui a besoin, plus que jamais, de Dieu et de sa Grâce divine.

Je vous remercie au nom de l'Eglise Orthodoxe Roumaine pour votre présence à la Sainte Liturgie Orthodoxe que vous appréciez tellement dans la lettre pastorale Orientale Lumen."

Tous les membres du Saint Synode de l'Eglise Orthodoxe Roumaine ont apprécié très favorablement la visite de Sa Sainteté Jean Paul II en Roumanie. La plus intéressante appréciation appartient à l'Archevêque de Cluj, Son Eminence Bartholomée, qui a déclaré : ‘La chrétienté fait son premier grand pas vers la normalité du premier millénaire’.

A la fin de la visite, Sa Sainteté le Pape Jean Paul II a invité Sa Béatitude le Patriarche Teoctist à visiter Rome, invitation acceptée avec plaisir. Le peuple roumain a manifesté une grande joie à l'occasion de la visite du Pape à Bucarest. Orthodoxes, Catholiques et Protestants participèrent à ce grand événement ayant une grande espérance de réconciliation car l'Eglise Orthodoxe Roumaine, a réussi, à cette occasion, à offrir l'image de la réconciliation en Christ.

La visite historique du Pape à Bucarest, dans un pays majoritairement orthodoxe, s'est inscrite dans le cadre plus large du dialogue entre l'Eglise Orthodoxe Roumaine et l'Eglise Catholique Romaine. La voie vers l'unité de l'Eglise est difficile, mais pas impossible. Des siècles de séparation ont fait naître entre elles des difficultés que l'homme ne peut pas surmonter tout seul et la solution ne peut être offerte que par Dieu et ses serviteurs.

Comme signe d'unité et de réconciliation, nous rappelons que Sa Sainteté le Pape Jean Paul II aussi bien que Sa Béatitude Teoctist, Patriarche de l'Eglise Orthodoxe Roumaine, se sont offerts, à la fin de la Sainte Liturgie Orthodoxe, un calice en or, représentant le désir de Communion ensemble, avec le Corps et le Sang de notre Seigneur dans la Sainte Eucharistie.

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Après avoir brièvement exposé du point de vue orthodoxe le problème de l'unité et de la réconciliation, on peut tirer la conclusion que leur base reste la Sainte Trinité et Jésus Christ. Malgré les différences doctrinaires survenues entre les Eglises chrétiennes, celles-ci demeurent unies en Christ, au-delà des barrières confessionnelles.

L'oecuménisme contemporain a comme but que l'unité spirituelle des Eglises en Christ reste aussi une unité visible, pour que "tous soient un comme nous sommes un" (Jean 17.11), aussi comme nous dit St Paul dans Colossiens 1.16-20 : "Car en lui tout a été créé. Dans les cieux et sur la terre. Les êtres visibles comme les invisibles, Trônes et Souverainetés, Autorités et Pouvoirs. Tout est créé par lui et pour lui. Et il est, lui, avan tout ; tout est maintenu en lui. Et il est, lui, la tête du corps, qui est l'Eglise. Il est le commencement, premier-né d'entre les morts, afin de tenir en tout, lui, le premier rang. Car il a plu à Dieu de faire habiter en lui toute la plénitude et de tout réconcilier par lui et pour lui, et sur la terre et dans les cieux, ayant établi la paix par le sang de la croix".

Nous trouvons le modèle de l'unité et de l'amour de tous les Chrétiens aussi dans la Sainte Liturgie orthodoxe, avant de témoigner la foi, dans le Credo, quand le prêtre exhorte les fidèles à s'aimer : "Aimons-nous les uns les autres, afin qu'unanimement nous confessions"
et le peuple répond : ‘le Père, le Fils et le Saint Esprit, Trinité consubstantielle et indivisible’.

Toutes les Eglises chrétiennes se préparent pour fêter les 2000 ans depuis la naissance de Jésus Christ, pour que tous soient un (Jean 17.11), dans son Eglise, Une, Sainte, Catholique et Apostolique, c'est-à-dire l'Eglise Universelle, Communautaire, Oecuménique et Apostolique.

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Bibliographie :

- Nouveau Testament, Traduction Oecuménique de la Bible, Les Editions du Cerf, Première Edition ;

- Rév. Dr. Ioan Mircea, Dictionnaire du Nouveau Testament, Bucarest, 1995 ;

- Rév. Prof. Dr. Ion Bria, Dictionnaire de Théologie Orthodoxe, Bucarest, 1994 ;

- Rév. Prof. Stefan Buchiu, L'Incarnation du Christ et Unité, Bucarest, 1997 ;

- Vestitorul Ortodoxiei (La Bonne Nouvelle de l'Orthodoxie), Périodique d'information ecclésiastique, Théologie et Spiritualité du Patriarcat Roumain, n° 225, 226, 227/1999 ;

- Rév. Prof. Dr. Petru Rezus, La Théologie Orthodoxe contemporaine, Timisoara, 1989 ;

- Rév. Prof. Dr. Dumitru Popescu, Christologie commune, Réconciliation en Christ, en "Glasul Bisericii" (La voix de l'Eglise), revue officielle de la Métropolie de Mountenie et de Dobroudja, n°1-5, janvier - mai 1995, pp. 91-96 ;

- Diacre Prof. Petru I. David, L'Oecuménisme, facteur majeur de stabilité dans le monde aujourd'hui, Bucarest, 1998.

 

Rév. Père V.A., Prêtre orthodoxe, Bucarest, Roumanie
(Texte oiginal en français)

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Mise en page : 26-04-2000 16:16
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