Romania Vassula en Roumanie

Oradea
19 juin 2000

 

 

Rapport sur la mission de Vassula en Roumanie en juin 2000

Une fois encore, nous rendons grâce à Dieu de nous avoir fait connaître, à travers Sa Miséricorde, Son Œuvre « La Vraie Vie en Dieu », pour répandre sur toutes les nations Son parfum. Soyons conscients de ce que Dieu nous offre et ouvrons nos oreilles à la voix de la Sainte Sagesse qui nous appelle continuellement au repentir, à la réconciliation et à l’unité.

En 1989, la veille de Noël, Vassula avait reçu du Seigneur une prophétie concernant la Roumanie, qui montrait que Son Eglise allait être rétablie et reconstruite, après tant d’années d’agression par le communisme. Le Seigneur promettait à la Roumanie qu’avec Son souffle puissant, Il renverserait ses ennemis qui l’avaient soumis à l’esclavage. A la suite de cela, Vassula a eu une vision. Elle voyait le Seigneur qui regardait d’en haut la Roumanie et elle a entendu le Seigneur dire à la Roumanie : « Ne pleure plus, petite, car Moi le Seigneur Je rebâtirai tes ruines et Je te multiplierai pour porter témoignage de Mon Nom. Je te ferai voir de grandes choses sous Mon Nom. Enfin libre ! Libre de venir à Moi, ton Sauveur et de vivre dans Mon Sacré Coeur. De Ma Lumière, Je poursuivrai tes ennemis qui sont aussi Mes ennemis. Ne pleure pas tes enfants qui ne sont plus, car aujourd'hui Je t'annonce que J'ai placé chacun d'eux dans les profondeurs de Mon Coeur. »

Dans une autre vision que le Seigneur a eu la bonté de donner à Vassula, elle voyait le toit d’une maison, et sur le toit il y avait un homme qui tirait de toute ses forces une corde à laquelle était attachée une lourde croix ; on aurait dit du béton. L’homme essayait avec toutes ses forces de la poser sur le toit de cette maison. Le Seigneur a fait comprendre à Vassula que Son Eglise serait rétablie en Roumanie et que l’orthodoxie y fleurirait de nouveau.

En 1994 une délégation œcuménique partait de Genève pour la Roumanie, à Iasi, avec la participation de plusieurs autres églises venant du monde entier. Tous étaient invités par le Métropolite Daniel de Moldavie et Boukovine. Vassula y était également invitée, pour présenter le côté mystique de l’Eglise. En réalité, guidée par l’Esprit Saint, sa mission à Iasi était non seulement de partager quelques extraits de messages que le Christ lui a donnés sur l’unité, mais aussi de faire figurer à l’agenda des participants, le devoir d’unifier les dates de Pâques. Cela n’a pas été sans peine, mais Vassula a réussi à leur faire porter l'unification des dates de Pâques à l'agenda de l'oecuménisme ; avec l’aide du Christ cela a été possible.

Une autre prophétie frappante sur la Roumanie, était donnée à Vassula en 1994. Au moment même, cette prophétie n’était pas claire, puisqu'elle ne mentionnait pas de date ni de nom. Mais elle montrait que quelqu’un de l’Eglise de l’Est se montrera généreux envers son frère de l’Eglise de l’Ouest en faisant le premier pas vers l’unité. Il invitera ce frère à venir sur sa terre et à partager sa table. Voici la prophétie telle qu’elle est donnée : "...De l'Est, Je hâterai un coeur généreux qui, dans sa loyauté, scellera un pacte de paix avec l'Ouest..." (5.10.1994)

" ...Dans Ma Miséricorde et à cause de Mon Amour, J'en lèverai de l'Orient au moins un qui dira à son frère : « viens marcher sur ma terre ; viens manger de ma table ; viens boire avec moi ;mes cuves débordent de vin nouveau. Paissons ensemble nos agneaux et faisons de nos pâturages un Eden ; […]
… La gloire brillera de la rive Est. C'est pourquoi, Je dis à la Maison de l'Ouest, tourne tes yeux vers l'Est. Ne pleure pas amèrement sur l'apostasie et la destruction de ta Maison. Ne cède pas à la panique car demain, tu mangeras et boiras, ensemble avec Ma pousse de la rive Est. Mon esprit vous réunira. " (vveD 24.10.1994)

Avec la venue du pape Jean Paul II en Roumanie en mai 1999, le Patriarche Théoctiste a prouvé au monde entier sa souplesse et sa bonne volonté pour faire avancer l’Unité, accomplissant ainsi la prophétie des 5 et 24 octobre 1994. Ils ont d’ailleurs tous deux reçus certains messages sur l’unité, ainsi que la prophétie concernant la Roumanie.

La première invitation demandant à Vassula de témoigner en Roumanie lui arriva voici un an de la ville d’Oradea, au nord-ouest du pays, non loin de la frontière avec la Hongrie. Ce n’est qu’une année plus tard que cette invitation put se réaliser, coïncidant avec la fête orthodoxe de la Trinité et le dimanche de la Pentecôte, soit les 18 et 19 juin 2000. Vassula devait rencontrer ce même dimanche, à Bucarest, le Père Galeriu. Celui-ci, considéré comme le plus grand père spirituel de la Roumanie, est au courant, tout en l’appréciant, du charisme de Vassula. Lors du voyage du pape dans ce pays en mai 1999, le journal La Croix avait publié une interview avec lui. Le jour de la Pentecôte, Vassula se rendit tôt le matin à l’église Saint Sylvestre où le père Galeriu l’attendait. Peu à peu, l’église fut comble. La liturgie et les lectures durèrent environ cinq heures. Vers la fin de la divine liturgie, le père Galeriu a demandé à Vassula de dire quelques mots aux fidèles. Ce fut une délicieuse surprise pour Vassula qui ne s’attendait pas à cette demande. Le père Galeriu la présenta aux fidèles, puis Vassula parla de la puissance et de l’effusion du Saint Esprit. Il était clair qu’il y avait dans la foule, des gens qui semblaient la connaître, car en sortant, ils lui demandèrent s’il n’y avait pas de nouveaux livres. Elle reçut également une nouvelle invitation pour revenir faire une conférence à Bucarest. La présence de Dieu était manifeste pendant cette mission de Vassula, lui donnant toujours des occasions pour témoigner. Dieu seul peut ouvrir de si grandes portes, sans aucun effort de la part de son instrument.

A son arrivée à Oradea, Vassula avait rendez-vous avec l’Archevêque greco-catholique, Monseigneur Virgil Bercea. Mais l'avion de Vassula eut au départ trois heures de retard, et elle manqua son rendez-vous avec Mgr Virgil : il venait de quitter son bureau dix minutes plus tôt. Vassula demanda alors aux organisatrices de l’emmener au domicile de Mgr Virgil. Celles-ci étaient un peu ennuyées car déranger un archevêque chez lui après avoir raté un rendez-vous, même si cela n’était pas de leur faute, n’était pas très orthodoxe. Mais vu l’insistance de Vassula, elles ont accepté de se rendre à son domicile. La porte s’ouvre et elles se trouvent face à un jeune monsieur en pantoufles, habillé en civil, surpris comme elles. Tous se regardèrent pendant quelques secondes sans rien dire puis à la fin Mgr Virgil leur a dit de rentrer en s’excusant de son allure. Etait-ce son habit non officiel qui fut la cause de l’atmosphère simple et familial qui régna ensuite ? Toujours est-il qu’ils se retrouvèrent tous à discuter comme de vieux amis et Mgr Virgil ne semblait pas du tout pressé de retourner à son dîner interrompu.

Le deuxième ecclésiastique que Vassula a rencontré à Oradea fut le vicaire orthodoxe, le Père Bota. Lui aussi était ouvert envers la Vraie Vie en Dieu.

Vassula put constater une grande différence entre les orthodoxes roumains et les orthodoxes grecs concernant l’acceptation des charismes. Chez plusieurs grecs orthodoxes, on trouve une grande étroitesse d’esprit lorsqu'il s’agit d’une femme laïque ayant un charisme, surtout le charisme de locutions, et très peu sont ceux qui laissent l’Esprit Saint libre de souffler où Il veut. Tandis que chez les orthodoxes roumains, Vassula remarque que l’Esprit Saint peut souffler librement.

Les deux réunions que Vassula donna à Oradea, le lundi 19 juin 2000, d’abord aux Hongrois en fin de matinée, puis ensuite aux Roumains l’après-midi, ont été reçues avec joie, et les gens furent très attentifs. Une remarque d’un orthodoxe fut que le message et le témoignage étaient identiques à la Sainte Ecriture, mais qu’ils étaient donnés avec une fraîcheur toute nouvelle et délicieuse, différente de ce que les Orthodoxes étaient habitués à entendre. Selon lui, tout devenait clair et les Ecritures aussi. Rendons grâce à Dieu. Que l’Esprit Saint souffle sur Son Eglise et la renouvelle d’une nouvelle Pentecôte.

P. R.


Compte rendu du voyage de Vassula en Roumanie en juin 2000
Rapport de Sorina Todor

La première fois que j'avais entendu parler de Vassula c'était en France, juste après la Révolution en 1990, quand une amie m'avait donné à lire un livret avec des messages. Ma première impression avait été d'assister à un renouveau du Cantique des Cantiques tellement il me semblait que Jésus comblait d'amour, de métaphores, de poésie et d'espoir romantique l'intimité entre notre âme et son époux. Ce ne sont que les amoureux qui gardent toujours l'espoir que leur amour ne meurt jamais.
Quatre ans après, j'ai rencontré à Oradea un ancien moine nommé Zoltan Hoszu, issu du temple de Bouddha, et, grâce aux messages de Vassula, converti par la suite au christianisme. Il prétendait et il prétend toujours qu'on lui avait donné une mission, celle de propager ces messages dans ce coin de la Roumanie, la ville de Oradea et ses alentours.
Située au Nord Ouest de la Roumanie, à la frontière hongroise, cette région est située au carrefour de plusieurs cultures, religions et traditions, ce qui a facilité la diffusion des messages, "ces lettres d'amour" que Jésus écrit pour nous, l'humanité d'aujourd'hui. D'autant plus que les Hongrois vivant à Oradea, les Gréco/Catholiques et les Catholiques avaient déjà entendu parler des messages grâce aux traductions en italien et en hongrois. Ce ne fut pas le cas des Roumains Orthodoxes auxquels la religion Orthodoxe très traditionaliste interdisait plus ou moins de croire à de pareils miracles. Dans le discours de Vassula l'après-midi à Oradea j'ai bien ressenti cette vérité lors de la question adressée à la salle entière : "A-t-on enterré le Seigneur il y a 2000 ans?... N'est-Il plus vivant?... Ne peut-Il plus parler de nos jours encore?..."
Avant l'arrivée de Vassula en Roumanie, accompagnée par Monsieur Joseph Guigou de France, responsable de la Vraie Vie en Dieu en Roumanie, Nous, les trois organisateurs de la réunion d' Oradea, Zoltan d'une part, moi Sorina et Maria, professeurs au Lycée Pédagogique de l'autre, nous avons entrepris de rencontrer des groupes de croyants, Zoltan pour la partie hongroise et nous pour la partie roumaine, en distribuant des messages photocopiés d'après le seul exemplaire qu'on possédait. On avait essayé de présenter le "phénomène Vassula" à tous ceux qui étaient interessés, y compris à des gens d'Eglise, Evêques et Prêtres. Grâce à des gens de bonne foi nous avons obtenu des aides matérielles pour louer la salle et pour pourvoir à d'autres besoins concernant la réunion. Quand Vassula nous a demandé d'organiser des rencontres avec les chefs des Eglises représentatives d' Oradea, on a bien craint leur refus. A l'Archevêché Orthodoxe on a rencontré une grande méfiance : "et si derrière tout cela a se cachait le New Age?....Nous avons l'Evangile, la tradition. A quoi ça sert les messages?.... Et c'est impossible que les Orthodoxes soient réunis avec des Protestants!"
Finalement c'est le Vicaire qui a accepté de recevoir Vassula pour des raisons subjectives : il aimait la culture grecque et Vassula était d'origine grecque.
Vint le jour de l'arrivée de Vassula à l'aéroport d' Oradea, le premier jour de la Pentecôte Orthodoxe. On avait vu là un signe, un cadeau, le fait que le Seigneur ait daigné venir à Oradea par un jour de fête pareil considéré par les Roumains comme de secondes Pâques. En plus, dans les messages on parlait souvent d'une seconde Pentecôte à la fin des temps. C'était le 18 juin 2000 le jour de l'arrivée de Vassula, et le soir on avait rendez-vous avec l'Evêque Gréco-Catholique à 18h.30 et avec les éléves du séminaire Gréco-Catholique dans la Chapelle St.Nicolas, à 19h.30.
Des roses jaunes dans les bras, les 3 organisateurs et deux autres admirateurs de Vassula, nous nous sommes rendus à l'aéroport pour l'accueillir à 17h.10. Au lieu de cela, l'avion a atterri à Oradea à 21h. le soir, soit un retard de presque 4 heures. Selon les dires de Vassula : "J'étais sûre qu'il allait se passer quelque chose, comme d'habitude, pour nous empêcher d'arriver à temps. Une autre fois c'était le taxi qui manquait de carburant".
Dès que je l'ai aperçue, j'ai ressenti une grande paix et en même temps une timidité face à ce regard profond qui imposait un certain silence et qui me rappelait celui du Christ dans une image qui trônait chez moi depuis des années.
En tout cas, même si on doit traiter Vassula comme quelqu'un de normal, on sait qu'en sa présence on se defend de parler de choses futiles, car tout son être appelle d'une façon inexprimable par une certaine majesté, à une nostalgie d'un au-delà et quand elle sourit c'est comme dans les Psaumes de David, il y a quelque chose qui fleurit en nous aussi.
Malgré l'heure avancée de la soirée Vassula a insisté pour aller rencontrer l'Evêque de l'Eglise Gréco-Catholique chez lui. Ce fut une belle rencontre car l'Evêque Virgil Bercea nous a reçues, Vassula, moi et Maria, un sourire très accueillant sur les lèvres et l'esprit ouvert au dialogue oecuménique. Il avait déjà lu les messages en italien à Rome et il nous a avoué qu'il ne comprenait pas pourquoi l'union de la date des Pâques et celle des Eglises était toujours retardée, car lui personnellement était très optimiste parce que les Laïques faisant le premier pas vers la rèconciliation, les gens d'Eglise allaient les suivre bientôt. Vassula a décrit devant l'Evêque Gréco-Catholique d'Oradea l'une de ses visions sur le Saint-Esprit: "Il souriait, je savais qu'il souriait même si je ne voyais pas sa bouche. C'étaient ses yeux que je pouvais apercevoir et quand quelqu'un sourit, ses yeux sourient aussi. Il était tout brillant et il avait comme une lumière qui venait du dedans et qui l'entourait à l'ext;rieur aussi et même si je ne voyais pas bien ses traits, qui étaient comme estompés à cause de cette lumière brillante, je savais comment il était. Il avait des traits comme une personne humaine".
Ce soir là il y a eu une entente très chaleureuse entre Vassula et le chef de l'Eglise Gréco-Catholique siégeant à Oradea. Il avait prié Vassula d'expliquer la facon dont elle recevait les messages. A la fin du rendez-vous, l'Evêque a offert à Vassula un CD avec de la musique liturgique et l'a embrassée en lui donnant sa bénédiction.
On est alors parti directement à la maison de Maria ou Vassula et monsieur Guigou devaient être accueillis.
Le lendemain on a laissé nos invités se reposer des fatigues du voyage et on s'est donné rendez-vous à la Maison de la Culture des Syndicats où avait lieu la rencontre avec des croyants de Budapest à 11h.30. Ayant été retenus à la douane ils sont arrivés une heure en retard ce qui a obligé Vassula à raccourcir son discours parce qu'elle avait rendez-vous avec des représentants de l'Eglise d'Oradea à 13h. C'était juste après la messe du deuxième jour de Pentecôte. Peut-être que les Hongrois ont été déçus du départ précipité de Vassula de la salle mais j'ai constaté qu'elle était d'une ponctualité admirable en tout ce qu'elle se proposait de faire.
La réunion avec les Hongrois de Budapest a été passée sous silence dans la presse et sur les affiches car Vassula désirait que tous les Hongrois qui parlaient roumain viennent l'après-midi à la grande réunion dans la même salle et qu'on soit là tous, rassemblés dans un esprit oecuménique.
Le rendez-vous avec Le Père Vicaire Bota de l'Eglise Orthodoxe de Oradea a été cordial et poli mais moins chaleureux que celui avec l'Evêque Gréco-Catholique. Une fois de plus on pouvait constater à quel point l'Eglise Orthodoxe, malgré sa tradition et ses profondeurs manquait encore d'ouverture au dialogue avec les autres Eglises. La conversation de Vassula avec le Père Vicaire et un autre Prêtre orthodoxe, le Père Lucian, m'avait rappelé la vision que Jésus avait donné à Vassula sur les trois barres de fer qui devaient s'incliner en même temps au nom de l'amour si l'on voulait que l'unité devienne un fait accompli, alors que les représentants de l':Eglise Orthodoxe avaient l'air de suggérer que les autres Eglises devaient s'incliner devant la majesté et l'authenticité de l'Eglise Orthodoxe en lui reconnaissant la priorité de l'Eglise primitive, la seule au commencement des temps, avant que l'Eglise Catholique ne se détache d'elle.
Même si Vassula avait affirmé devant une journaliste qu'elle avait trouvé les gens d'Eglise tout ouverts au dialogue, on pouvait ressentir encore toute la réticence des prêtres orthodoxes devant l'accomplissement réel de l'unité et par là/même, le peu d'intérèt qu'ils ont accordé à la lecture des messages qui leur ont été distribués bien longtemps avant l'arrivée de Vassula à Oradea.
A 17h. Vassula est entrée dans une salle de 700 personnes presque bondée de croyants de toutes les confessions venus l'écouter.
Maria a fait une belle présentation de la vie de Vassula avant et après la rencontre de Dieu. Quand Vassula a commencé à parler, la salle était encore bruyante et agitée mais peu de temps après tout était calme, tous avaient l'air émus et très intéressés par ce que Vassula leur disait.
On a apprécié le caractère ordonné, méthodique et bien explicité de son exposé et surtout la citation de certains messages sur ce que c'est qu'aimer et prier, d'une beauté inouïe. On entend encore à travers Vassula l'appel de Dieu à L'aimer, à languir de Lui, à avoir soif de Lui, à Le chercher avant toute chose.
A la fin, on avait des larmes aux yeux, des bouquets de fleurs plein les bras et toute une foule qui s'empressait près de la porte de sortie de Vassula. J'avais retenu la présence de quelques catholiques qui avaient voulu remercier Vassula de ces mots divins, remplis d'espoir et de tendresse. En ces instants là, nous avons tous été touchés par la grâce divine, par cette douceur de Dieu dont parlait Vassula après nous avoir assurés que ceux qui se trouvaient dans la salle cet après-midi là étaient tous appelés par le Saint Esprit.
Vassula a rencontré une journaliste qui l'a interviewée sur son séjour en Roumanie, surtout que le lendemain, mardi matin, elle allait partir à nouveau vers Bucarest.
Avant de se séparer, Vassula nous a fait la recommandation de constituer des groupes de prière "La Vraie Vie en Dieu" à Oradea et aux alentours, sinon sa venue à Oradea resterait un fait isolé, sans continuité.

Sorina Todor


   

Romania Vassula în Romania

Casa de Cultura a Sindicatelor
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Oradea

 

 

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